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1. Inscriptions, signatures. 2. Historique, auteur, fabrication, commanditaires. 3. Variantes, œuvres en rapport : 2. Ce Festin faisait autrefois partie d’une série de quatre tableaux qui figuraient en 1745 dans la décoration du palais du duc de San Severino Gruther à Naples. 3. Pendant probable à David jouant de la harpe devant Saül (autrefois Stair Sainty Matthiesen, New-York). Preti a également peint un Festin d’Hérode (Kassel, Gemäldegalerie Alte Meister), avec beaucoup moins de personnages. Analyse de l’image : Ce tableau est interprété à tort par Andreas Priever comme un Festin D’Absalon : Absalon, dont la sœur Tamar avait été violée par son demi-frère Amnon, dissimule sa racœur et invite ce dernier à une fête rustique, où il le fait assassiner par ses serviteurs (Premier livre de Samuel, 13, 23-38). Aucun meurtre n’est représenté ici : tous les convives de Balthasar en revanche sont tournés vers la main en haut à gauche, qui trace l’inscription miraculeuse du MENE, TEKEL, FARES. A. Priver a probablement confondu avec un Festin d’Absalom de Preti conservé à Ottawa. Sujet de recherche : S. Lojkine, Image et subversion, chap. 9 (Le recyclage symbolique)
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