Dormon au supplice de la roue dentée (Juliette, II, fig. 19)
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Analyse
« … les vieilles le saisissent à la fin et le fixent dans la fatale roue ; Faustine, étendue sur Clairwil, est obligée de la branler ; mon amie me baise… me chatouille pendant ce temps-là : Saint-Fond encule Faustine, et bientôt le sang nous couvre tous les quatre : la jeune fille ne soutient pas cet affreux spectacle jusqu’au bout… Suffoquée par la douleur, elle expire… Un moment, un moment ! s’écria Saint-Fond, je crois que la garce veut mourir sans que j’en sois cause ; et le vilain décharge, en disant cela, dans une masse qui n’existait déjà plus. Clairwil, dont les mains scélérates pétrissent les couilles de Delnos, pendant que je piquais à grands coups d’aiguillles les fesses de ce jeune homme, ne tint pas au spectacle de Dormon dans la roue, et la putain décharge trois fois en jetant des hurlements semblables à ceux d’une bête féroce. »
1. Au-dessus de la gravure à gauche « T. VI. », à droite « P. 284. »
Informations techniques
Notice #008181