Le Nain jaune. 5. Intervention de la sirène - (Contes des fées, Garnier)
Série de l'image :
Notice précédente Notice n°87 sur 160 Notice suivante
Date :
Entre 1850 et 1880
Nature de l'image :
Gravure
Dimensions (HxL cm) :
5,7x6,2
Sujet de l'image :
Lieu de conservation :
Analyse
Le roi des Mines d’or devait épouser Toute-Belle, mais celle-ci est promise au Nain-Jaune, qui l’enlève au jour de ses noces. Le roi est également enlevé. Mais une sirène lui propose son secours.
« Comme il écrivait, il entendit une voix qui attira malgré lui toute son attention, et, voyant que les flots grossissaient, il regardait de tous côtés, lorsqu’il aperçut une femme d’une beauté extraordinaire, son corps n’était couvert que par ses longs cheveux qui, doucement agités des zéphirs, flottaient sur l’onde. Elle tenait un miroir dans l’une de ses mains, et un peigne dans l’autre, une longue queue de poisson avec des nageoires terminait son corps. Le roi demeura bien surpris d’une rencontre si extraordinaire ; dès qu’elle fut à portée de lui parler, elle lui dit : “Je sais le triste état où vous êtes réduit par l’éloignement de votre princesse, et par la bizarre passion que la fée du désert a prise pour vous ; si vous voulez, je vous tirerai de ce lieu fatal où vous languirez peut-être encore plus de trente ans.” »
« Comme il écrivait, il entendit une voix qui attira malgré lui toute son attention, et, voyant que les flots grossissaient, il regardait de tous côtés, lorsqu’il aperçut une femme d’une beauté extraordinaire, son corps n’était couvert que par ses longs cheveux qui, doucement agités des zéphirs, flottaient sur l’onde. Elle tenait un miroir dans l’une de ses mains, et un peigne dans l’autre, une longue queue de poisson avec des nageoires terminait son corps. Le roi demeura bien surpris d’une rencontre si extraordinaire ; dès qu’elle fut à portée de lui parler, elle lui dit : “Je sais le triste état où vous êtes réduit par l’éloignement de votre princesse, et par la bizarre passion que la fée du désert a prise pour vous ; si vous voulez, je vous tirerai de ce lieu fatal où vous languirez peut-être encore plus de trente ans.” »
Annotations :
2. P. 291.
Sources textuelles :
Informations techniques
Notice #008429
Identifiant historique :
A7748
Traitement de l'image :
Photographie numérique
Droits de reproduction / Auteur du cliché :
Ophir et Ulysse Lojkine