Avantures dâAbdal-Moal (Gueullette, Contes chinois T2, 1728)
SĂ©rie de l'image :
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Date :
1728
Nature de l'image :
Gravure sur cuivre
Sujet de l'image :
Lieu de conservation :
Vet. Fr. II A 350
Analyse
Le narrateur est officier dans les Gardes du corps du roi dâOrmuz, il raconte son histoire au mandarin Fum-Hoam :
   Un philosophe arrive Ă la cour, il est alchimiste et possĂšde lâĂ©lixir de Jouvence. Le vizir devient jaloux de ce philosophe et persuade le roi de le faire mettre en prison. Le narrateur est son geĂŽlier et tente dâadoucir ses peines, tandis que le visir voudrait lui extorquer le secret de la fabrication de lâor.
   Le narrateur organise lâĂ©vasion du philosophe, quâil fait passer pour mort dans la prison. Puis il simule un dĂ©part pour la Mecque et sâenfuit avec le philosophe, qui lui enseigne son art. Ils vivent ensemble quelques annĂ©es, puis le philosophe meurt.
   Le narrateur se rend Ă Damas, oĂč il guĂ©rit la reine grĂące Ă lâelixir de Jouvence. Celle-ci lâĂ©pouse. Quatre-vints ans plus tard, il sâĂ©gare lors dâune partie de chasse et entre dans un maison de paysans, oĂč il tombe amoureux de la belle Doulzagar. Il lâachĂšte Ă son pĂšre et lâemmĂšne Ă Damas. La reine, qui par ailleurs nâa pas eu dâenfant, dĂ©couvre lâinfidĂ©litĂ© de son mari et en conçoit une mortelle jalousie.
  Â
   La scĂšne reprĂ©sentĂ©e ici est celle oĂč la reine, cherchant Ă surprendre le sultan adultĂšre, est elle-mĂȘme surprise par lâorage. Elle a dâabord interceptĂ© Doulzagar, qui sâest laissĂ©e tomber de cheval pour ne pas ĂȘtre enlevĂ©e Ă Damas chez la reine. Le sultan sâest par ailleurs rĂ©fugiĂ© dans une grotte. Les esclaves de la reine tirent des flĂšches au hasard pour sĂ©curiser les lieux, blessent le sultan et tuent Doulzagar. Le sultan, malgrĂ© ses blessures entreprend alors de les massacrer.
   Un philosophe arrive Ă la cour, il est alchimiste et possĂšde lâĂ©lixir de Jouvence. Le vizir devient jaloux de ce philosophe et persuade le roi de le faire mettre en prison. Le narrateur est son geĂŽlier et tente dâadoucir ses peines, tandis que le visir voudrait lui extorquer le secret de la fabrication de lâor.
   Le narrateur organise lâĂ©vasion du philosophe, quâil fait passer pour mort dans la prison. Puis il simule un dĂ©part pour la Mecque et sâenfuit avec le philosophe, qui lui enseigne son art. Ils vivent ensemble quelques annĂ©es, puis le philosophe meurt.
   Le narrateur se rend Ă Damas, oĂč il guĂ©rit la reine grĂące Ă lâelixir de Jouvence. Celle-ci lâĂ©pouse. Quatre-vints ans plus tard, il sâĂ©gare lors dâune partie de chasse et entre dans un maison de paysans, oĂč il tombe amoureux de la belle Doulzagar. Il lâachĂšte Ă son pĂšre et lâemmĂšne Ă Damas. La reine, qui par ailleurs nâa pas eu dâenfant, dĂ©couvre lâinfidĂ©litĂ© de son mari et en conçoit une mortelle jalousie.
  Â
   La scĂšne reprĂ©sentĂ©e ici est celle oĂč la reine, cherchant Ă surprendre le sultan adultĂšre, est elle-mĂȘme surprise par lâorage. Elle a dâabord interceptĂ© Doulzagar, qui sâest laissĂ©e tomber de cheval pour ne pas ĂȘtre enlevĂ©e Ă Damas chez la reine. Le sultan sâest par ailleurs rĂ©fugiĂ© dans une grotte. Les esclaves de la reine tirent des flĂšches au hasard pour sĂ©curiser les lieux, blessent le sultan et tuent Doulzagar. Le sultan, malgrĂ© ses blessures entreprend alors de les massacrer.
Annotations :
1. Au-dessus de la gravure à gauche « Tom. 2. », à droite « pag. 150. ».
La gravure nâest pas signĂ©e.
2. XXXIII. soirée. La gravure est placée face à la page 130, premiÚre page du conte.
La gravure nâest pas signĂ©e.
2. XXXIII. soirée. La gravure est placée face à la page 130, premiÚre page du conte.
Sources textuelles :
XXXVIIIe soirĂ©e, Suite des Avantures dâAbdal-Moal, p. 168
Informations techniques
Notice #008682
Identifiant historique :
A8001
Traitement de l'image :
Image web