Aller au contenu principal

« Cette partie qui nous fait femmes… » (Thérèse philosophe, Londres, 1782)

Notice précédente Notice n°11 sur 40 Notice suivante

Date :
Entre 1782 et 1783
Nature de l'image :
Gravure sur cuivre
Sujet de l'image :
Lieu de conservation :
124708 Rem.IV 1353-1

Analyse

« je me troussai ; & m’étant assise sur le bord du lit, j’écartai les cuisses de mon mieux & m’attachai à exainer attentivement cette partie qui nous fait femmes ; j’en entrouvris les levres, & cherchant avec le doigt l’ouverture par laquelle le Pere Dirrag avoit pu enfiler Éradice avec un si gros instrument, je la découvris, sans pouvoir me persuader que ce fût elle : sa petitesse me tenoit dans l’incertitude ; & je tentois d’y introduire le doigt, lorsque je me souvons de la défense de Monsieur T… J ele retirai avec promptitude en rmeontant le long de la fente. Une petite éminence que j’y rencontrai, me causa un tressaillement, je m’y arrêtai : je frottai, & bientôt j’arrivai au comble du plaisir. Quelle hereuse découverte pour une fille qui avoit dans elle une source abondante de la liqueur qui en est le principe ! »

Sources textuelles :
[Boyer d’Argens,] Thérèse philosophe (1748?)
Romanciers libertins, 2000, Pléiade, t. 1, p. 903

Informations techniques

Notice #013081

Image HD

Identifiant historique :
B2400
Traitement de l'image :
Image web
Localisation de la reproduction :
Collections en ligne de la Bibliothèque de Bavière (Münchener DigitalisierungsZentrum)